Véhicules électriques





𝐏𝐨𝐮𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐝’𝐚𝐜𝐡𝐚𝐭. Cela nuit aux portefeuilles de nombreux ménages, notamment les plus modestes.
𝐃𝐞́𝐩𝐞𝐧𝐝𝐚𝐧𝐜𝐞. Aucune batterie n’est actuellement produite sans au moins un élément provenant de Chine.
𝐄́𝐧𝐞𝐫𝐠𝐢𝐞. Comment allons-nous produire toute l’électricité nécessaire à l’usage des véhicules électriques ? Quand E. Macron et son groupe au Parlement européen valident cet accord sur la fin des voitures classiques en 2035, les mêmes acceptent que le nucléaire ne puisse être subventionné par l’UE. Cherchez l’erreur alors que notre parc nucléaire vieillit et qu’il a besoin d’investissements.
𝐄𝐦𝐩𝐥𝐨𝐢𝐬. L’industrie automobile génère 12,5 millions d’emplois en Europe, dont près de 240 000 emplois directs en France. Toute transition doit se faire avec et non contre l’industrie. Nous avons connu trop de drames humains et sociaux.
𝐁𝐨𝐫𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞. Comment nos villes et villages vont-ils s’adapter ? Nos réseaux électriques sont-ils prêts ? Quid des personnes vivant en appartement ?
𝐃𝐢𝐯𝐞𝐫𝐬𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧. Je ne suis pas contre les véhicules électriques mais il faut être réaliste et prudent. Une solution raisonnable existait : laisser les constructeurs commercialiser 10% de véhicules thermiques, dont les hybrides.
𝐌𝐞𝐧𝐬𝐨𝐧𝐠𝐞. Le « zéro émission » n’existe pas. Toute production industrielle pollue. Il ne faut pas s’attarder uniquement sur les émissions du pot d’échappement mais aussi sur l’ensemble du cycle de vie des véhicules !
𝐋𝐮𝐱𝐞. Une dérogation est accordée aux constructeurs “de niche” ou ceux produisant moins de 10.000 véhicules par an, leur permettant d’être équipés d’un moteur thermique jusqu’à fin 2035 (Ferrari & Cie) alors que les autres constructeurs ne le pourront plus (Renault, Peugeot etc.).